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samedi 28 mars 2015

Ne pas agir pour imposer, mais pour contribuer (Natacha Quester-Semeon)


Bon, elle a un peu le melon et est assez emblématique de cette génération précieuse, qui ne parle pas de "dessert" mais d' "entremêt agrémenté de fleur d'oranger aux senteurs de jasmin, saupoudré de croquant chocolaté", mais j'avais envie aujourd'hui de citer son dernier article du 25 mars dernier : "Et si l’empowerment commençait par soi-même ?".

"...À travers le numérique, une génération qui a changé de mentalité apprend à se prendre en main. Elle modifie les règles sans même s’en apercevoir. L’empowerment, c’est la responsabilisation. Les technologies apportent le temps réel, les moyens humains et parfois également financiers. Le citoyen actif veut s’impliquer et non plus déléguer. La réponse ne vient plus d’en haut. La mutation est si rapide qu’elle exige de s’adapter pratiquement chaque jour. Il n’y a plus de mots d’ordre universels, plus de leaders identifiés. Il n’y a plus, d’un coté, les “sachants”, de l’autre, les ignorants. Avec Internet, on apprend à apprendre. On apprend tout au long de sa vie, et même chaque jour. L’un des gourous des réseaux sociaux, Brian Solis, affirme que “la mutation digitale est d’abord une question d’empathie… Ensuite seulement de technologie”. Il dit également qu’auparavant, pour mobiliser, il fallait manipuler. À présent, il s’agit d’inspirer..."