samedi 1 octobre 2011
La banlieue à l'avant-garde de l'art contemporain...il fallait s'y attendre
C'est ce que révèle un article du Monde. Le contre-exemple parfait est celui des Frigos dans le XIIIè arrdt qui est en train de mourir à petit feu et dont l'accès ne sera plus accessible qu'à une frange de "cultureux" comme aime à les appeler Jean-Paul Réti (que j'ai rencontré fin juillet et qui se désole de la schlérose artistique de Paris intra-muros alors que la banlieue a cette capacité de faire émerger des réels talents qui n'ont besoin ni de relation ni d'argent pour s'exprimer). Et l'article de conclure "si le Grand Paris demeure un fantasme, dans le domaine de l'art, le défi n'est pas loin d'être relevé."