Je ne résiste pas à la tentation de vous remontrer l'hôtel Everland. C'était en 2008. Une éternité. Il tronait au-dessus du Palais de Tokyo. Le souci du détail et les choix des artistes transparaissent partout, du design retro-futuriste aux petites « surprises » comme la collection de vinyles et son tourne-disques. Et puis que dire du coin « salon-lounge », installé sur les confortables sofas, on se retrouve comme suspendu au bord du ciel.