La Fabrique, projet collectif (4/4) from La Fabrique on Vimeo.
vendredi 30 septembre 2011
jeudi 29 septembre 2011
Bientôt tout ça n'existera plus
mercredi 28 septembre 2011
mardi 27 septembre 2011
Une ville interactive pour quoi faire ?



Des tentatives - telles Futur en Seine - sont lancées pour en démocratiser l'approche mais ce type d'initiative n'atteint pour l'instant que les geeks, population hyper-sensibilisée aux nouvelles technologies. On en est encore à une techno froide et les initiateurs de ce type de manifestation seraient bien inspirés de relire (lire ?) McLuhan.
L'exposition IBM Think à l'occasion du 100è anniversaire de l'entreprise - du 23 septembre au 23 octobre au Lincoln Center à New York- s'inscrit dans cette tendance. Elle y met en valeur que le progrès de l'humanité est fortement corrélée au progrès technologique. Mais la technologie peut également accoucher de monstres. Philip K. Dick, Asimov, Bradbury nous l'ont montré il y a déjà bien longtemps. L'innovation ne peut être cantonnée à la seule dimension technologique. Les créateurs (écrivains, poètes, plasticiens...) doivent y être associés de près pour en révéler aussi bien la poésie que l'horreur. Au risque sinon que l'innovation reste... lettre morte.
lundi 26 septembre 2011
ZAC Boucicaut à Paris : le bon élève de l'environnement



Le programme de cette opération porte sur 6 500m² SHON environ dont :
- un espace culturel de 720m² SHON,
- une résidence pour travailleurs migrants de 49 studios,
- 57 logements sociaux.
- un espace culturel de 720m² SHON,
- une résidence pour travailleurs migrants de 49 studios,
- 57 logements sociaux.
Le projet intègre une percée par la rue des Cévennes vers le sud qui doit apporter luminosité à l’ensemble des logements. Une terrasse commune sera aménagée sur les toits. Elle sera végétalisée pour partie.
L’aménagement propose une alternance de bâtiments restaurés et de constructions neuves.
Ce programme répond à un niveau exigeant de performance énergétique (label Bâtiment Basse Consommation Effinergie® et respect du Plan Climat parisien). Il s’agit de valoriser un bâtiment ayant une consommation d’énergie primaire de 50kWh/m² SHON/an hors compensations photovoltaïques. Il est ainsi prévu de se raccorder au réseau CPCU et d’installer 170m² de panneaux solaires thermiques permettant de contribuer à la production de 40 à 50% des consommations en eau chaude sanitaire. Enfin des dispositifs de rétention des eaux de pluie et de réduction des déchets sont prévus pour contribuer à une gestion économe des ressources.
L’aménagement propose une alternance de bâtiments restaurés et de constructions neuves.
Ce programme répond à un niveau exigeant de performance énergétique (label Bâtiment Basse Consommation Effinergie® et respect du Plan Climat parisien). Il s’agit de valoriser un bâtiment ayant une consommation d’énergie primaire de 50kWh/m² SHON/an hors compensations photovoltaïques. Il est ainsi prévu de se raccorder au réseau CPCU et d’installer 170m² de panneaux solaires thermiques permettant de contribuer à la production de 40 à 50% des consommations en eau chaude sanitaire. Enfin des dispositifs de rétention des eaux de pluie et de réduction des déchets sont prévus pour contribuer à une gestion économe des ressources.
samedi 24 septembre 2011
La montagne ça vous gagne !


vendredi 23 septembre 2011
Europa City : c'est pharaonique



J'ai eu le privilège de convier Bjarke Ingels dans le cadre du "Club Ville hybride-Grand Paris" la veille de son audition pour la compétition du Triangle de Gonesse, Europa City. Personnage tout en maîtrise à l'instar du projet. Hier les quatre équipes de maîtrise d'œuvre - Manuelle Gautrand, Snohetta, BIG et Valode & Pistre- sélectionnées pour mener une étude urbaine et architecturale pour Europa City à Gonesse ont présenté la première phase de leurs travaux. Ce projet de 80 ha comprend une offre de loisirs de 170 000 m2 environ, des équipements culturels sur 50 000 m2, des commerces et des services sur 230 000 m2 ainsi que des hôtels et des équipements complémentaires, soit une shon d'environ 500 000 m2 (photos © Valode&Pistre).
jeudi 22 septembre 2011
Georges Pompidou, homme de culture...et de désordre salutaire

Il y a un troisième aspect du personnage qui me séduit plus encore : c'est l'homme de lettres, de culture. En conférence de presse, il cite Paul Elluard à propos du fait divers qui a bouleversé la France (cette enseignante tombée amoureuse d'un jeune homme de 17 ans, condamnée par la justice, puis se suicidera). Cette même culture qui lui a permis de comprendre avant beaucoup d'autres l'évolution de la société à la sortie des années 60. Alors que de Gaulle s'arcboute en mai 68 et "fuit" en Allemagne, Pompidou comprend que la France a évolué et qu'elle aspire à une plus grande respiration démocratique. C'est notamment en voyant "le chinois" de Godard qu'il perçoit cette évolution. C'est la culture qui lui a permis de mieux cerner les nouvelles forces vives et de faire en sorte que l'Etat soit le catalyseur de la créativité à tous les échelons de la société. Sans culture, comment appréhender les différentes réalités sociales ? Comment même les comprendre puisque pour certains elles n'existent même pas, voire sont source de désordre. Or le désordre est salutaire car il permet de libérer les énergies créatrices. Certains de nos hommes et femmes politiques seraient avisés de se le rappeler !
mercredi 21 septembre 2011
Un local technique reconverti en lieu de villégiature





mardi 20 septembre 2011
lundi 19 septembre 2011
Les tours d'Haikou selon Henn Studio B
dimanche 18 septembre 2011
samedi 17 septembre 2011
jeudi 15 septembre 2011
Vers la privatisation du monde

Quand on croise ceci avec le fait qu’il n’y a qu’une trentaine d’Etats-Nations munies de véritables prérogatives (budget significatif, services publics,…), que les 150 autres jouissent de leviers très limités et interviennent peu voire pas dans l'espace public, et que les 2000 organisations privées les plus riches détiennent davantage de moyens financiers que ces 150 états… cela signifie que tous les aspects de notre vie (transport, éducation, culture/loisirs, énergie, gestion des déchets, sécurité...) sont sur le point de passer entre les mains d'opérateurs privés (ce qui est déjà largement le cas dans de vastes zones du monde ; un peu moins sous nos latitudes tempérées). D'où la montée du discours RSE des entreprises qui sentent bien qu'elles reviennent fortement dans le jeu sociétal (et pas qu'économique). Dès lors, l'instauration de garde-fous est indispensable pour séparer le bon grain de l'ivraie et permettre aux entreprises les plus engagées d'être reconnues. Et à la société civile de se prendre pleinement en main pour ne pas se réveiller un jour...avec la gueule de bois.
Tableau des frères Gao Qiang et Gao Zhen(exposé à 798 art district, Dashanzi, province de Pékin).
Passer à l'économie circulaire, vite !

Le rapport de la Cour des Comptes sorti cette semaine sur la gestion des déchets est sans appel. L'élève France doit faire mieux. A titres d'exemples :
- En Vendée, la situation est critique : 45 % des déchets ultimes sont exportés vers les départements voisins.
- 200.000 tonnes de déchets ont été exportées en 2008 hors de l'Hérault du fait de la fermeture de la décharge du Thôt en juin 2006.
- La situation est également complexe dans les Alpes-Maritimes, qui exportent à plus de 200 kilomètres 120.000 tonnes de boues d'épuration et d'ordures ménagères.
- La revue « Pro-environnement » vient par ailleurs de montrer qu'Ajaccio n'hésite pas à transporter par bateau une partie de ses déchets jusqu'à une décharge proche de l'étang de Berre.
La gestion des déchets demande une implication élargie des acteurs et une approche transversale. Elle n'est pas que le fait des collectivités locales et de leurs prestataires. En amont, elle concerne les industriels, les fabricants d'emballage et la grande distribution, pour réduire les déchets à la source (la prise de conscience a eu lieu il y a une dizaine d'années et les process sont aujourd'hui plutôt bien intégrés dans ces entreprises). En aval elle concerne les collectivités locales, les prestataires. Or, de plus en plus devront être associés les habitants (dans les bons gestes à adopter) ainsi que les architectes, urbanistes, aménageurs pour définir au mieux, avec les acteurs locaux (les entreprises notamment), l'obectif précis de la gestion des déchets, dans quelle logique globale elle doit s'inscrire. C'est tout le défi de l'économie circulaire qui fait passer les déchets d'un centre de coûts à un centre de profit pour les collectivités.
mercredi 14 septembre 2011
Du baba cool à la sauce bobo

Dans la généalogie bobo, les baba cool occupent une place prépondérante. Il suffit de revoir "Quelques messieurs trop tranquilles" de Lautner ou encore "Les baba cool" de Poiré pour finir de s'en convaincre (si ce n'est déjà fait !). Ce revival 70's est le travail de Pierre Arnoux. Une roulotte faussement bohème revisitée au goût du jour. Pas convaincu.
mardi 13 septembre 2011
Un coquillage en guise de siège
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