Le projet est basé sur l'idée d'«impression agricole». Il étudie les possibilités de la fabrication numérique et de ses applications dans l'agriculture moderne. L'expérience applique des algorithmes pour obtenir la meilleure répartition possible propice à la préservation de l'environnement dans le cadre de la production de biomasse. Ces zones supplémentaires optimisent la relation faune/flore pour soulager les problèmes récurrents de la mono-culture. Dans un proche avenir, un agriculteur pourra non seulement produire de l'avoine, des pois, des haricots et de l'orge, mais aussi des zones de compensations imprimées pour éviter la contamination des cultures existantes et des logements environnant.