La vision froide de la ville interactive est souvent celle associée aux applications numériques, désincarnées, distantes. On peut être en résonance, en dialogue avec la ville, avec des médias chauds tels que ces "cuivres" qui font chanter la pluie qui s'écoule le long de cet immeuble à Dresde ("court of water" de Heike Bottcher). Une manière poétique de percevoir la ville, son architecture, ses "bruits", son rapport à l'environnement (la nature urbaine ce n'est pas que l'introduction du végétal...).
vendredi 6 avril 2012
"Court of water" ou la résonance "chaude" avec la ville
La vision froide de la ville interactive est souvent celle associée aux applications numériques, désincarnées, distantes. On peut être en résonance, en dialogue avec la ville, avec des médias chauds tels que ces "cuivres" qui font chanter la pluie qui s'écoule le long de cet immeuble à Dresde ("court of water" de Heike Bottcher). Une manière poétique de percevoir la ville, son architecture, ses "bruits", son rapport à l'environnement (la nature urbaine ce n'est pas que l'introduction du végétal...).